Riche de sa double culture manouche et caribéenne, Zinda Reinhardt règne avec douceur sur un No Man’s Land qu’elle transforme en Terre Promise, avec sa soif de fantaisie, d’imprévu et de rencontres.

 

Son voyage musical commence à l’âge de 7 ans par le conservatoire. Percussions classiques, chant lyrique, sans oublier l’improvisation jazz pour honorer l’héritage familial de l’illustre Django Reinhardt… un appétit et une curiosité qui ne la quitteront plus. Des cours de musicologie à la scène, avec ses acolytes musiciens, elle chante seule, en groupe, en duo et se constitue une famille musicale arc-en-ciel, à l’image de ses innombrables sources d’inspirations.

 

Passionnée par les mots, leur vibration, leur pouvoir de réconfort contre la misère d’un monde trop dur, trop triste, trop gris, elle élabore sa poésie d’abord en français, avant d’apprendre, en hommage à ses ancêtres d’Europe de l’Est, la langue sintikès qui exprime au mieux son esprit de liberté et d’aventure. Sa voix est un tiercé gagnant : sensuelle, sauvage et espiègle.